Après quatre ans, vous reviendrez à Oranje-Rood?

Baart : « Oranje-Rood m'est très familier, même si beaucoup de choses ont changé au cours des dernières années. Il reste certains des mêmes visages, mais aussi un bon nombre de nouveaux. Je suis très excité !'

'La principale raison de mon changement est l'opportunité de travailler avec mon frère Jeroen Baart, qui est l'entraîneur adjoint de Robert van der Horst. Notre tentative d’y parvenir au RAHC a échoué. C'est un peu étrange d'être coaché ​​par un membre de sa famille. Sur le terrain, nous sommes des professionnels, hors du terrain, juste des frères. Jeroen est très détendu et comprend très bien les besoins des joueurs. Et ce qui est bien, c'est qu'il n'a pas à jouer au connard, c'est plutôt un travail pour l'entraîneur-chef de toute façon.' (rires)

Avez-vous vous-même des ambitions d'entraîneur?

Baart : 'J'ai toujours donné des entraînements bien sûr, puisque je jouais au hockey chez les jeunes. L’ambition est bien là. Les prochains mois seront une période d’exploration et d’essais, pour découvrir si le coaching serait quelque chose qui me conviendrait.’

Avez-vous raté la première partie de Pro League à cause d'une opération au poignet?

Baart : « Malheureusement, j'ai raté le début de la PL. La semaine prochaine, je m'envolerai pour l'Argentine pour retrouver l'équipe néerlandaise. On a connu un début difficile avec 1/6 contre l'Inde. Ce week-end était bien meilleur. A partir de la semaine prochaine, je vais m'entraîner très dur. Je ne sais pas si je serai bon pour jouer, mais je l'espère.'

Ressentez-vous déjà la fièvre de Tokyo?

Baart : 'Oh oui ! Ce seront mes troisièmes Jeux. Après Londres (argent) et Rio (4e place), c'est probablement Tokyo qui apportera le plus de spectacle. Il y a beaucoup de talent dans l'équipe néerlandaise, donc tout le monde devra se battre pour une place. Avec six équipes parmi les meilleures du monde, les jeux s'annoncent extrêmement excitants. Les qualifications olympiques ont été un véritable combat, donc chaque match vaudra la peine d'être regardé. J’ai hâte !’